KISS – Keep It Short and Simple

 

Et si ? Que se passerait-il si… ?

KISS est un ensemble de formes courtes et simples (mais pas figées!), qui prennent leur sens dans l’espace public. Chaque forme est indépendante et propose un regard différent avec lequel il est possible d’interpréter et de concevoir notre monde. Nous ne souhaitons pas être dans la critique d’un monde qui ne va pas, mais plutôt dans la proposition de formes artistiques  qui ouvrent à de nouvelles perspectives de la réalité. Notre envie est d’ouvrir un éventail des possibles dans notre propre réalité.

Créer la surprise, le surgissement poétique, l’enchantement du quotidien.

 

 » The only way to change the world around us, is to start with yourself  »

– Marina Abramovic

 

Pourquoi l’espace public ?

 

– C’est un espace qui s’ouvre à un public très divers faisant de cette installation un événement populaire, accessible : notre performance s’adresse à tout le monde.

– Nous aimons explorer des nouvelles formes de création. L’idée d’un espace scénique éphémère nous attire et fait partie de nos centres d’intérêt actuels.

– Nous aimons l’idée que les lieux puissent être temporairement modifiés, et, ce faisant, que les liens sociaux trouvent un nouvel équilibre, provisoire, passager, exceptionnel.

– Nous souhaiterions explorer la dimension politique de la sphère publique c’est à dire envisager cet espace comme un lieu de dialogue, de rencontre, de débat. Et par là même interroger ensemble le monde, notre société, tout en nous interrogeant nous-mêmes.

– Questionner la circulation des corps, le flux existant, nos parcours habituels et nos écarts

– Et cela sans imposer notre performance aux passants tout en désirant solliciter, s’ils le souhaitent, leur participation.

KISS – Keep It Short and Simple

 

Et si ? Que se passerait-il si… ?

KISS est un ensemble de formes courtes et simples (mais pas figées!), qui prennent leur sens dans l’espace public. Chaque forme est indépendante et propose un regard différent avec lequel il est possible d’interpréter et de concevoir notre monde. Nous ne souhaitons pas être dans la critique d’un monde qui ne va pas, mais plutôt dans la proposition de formes artistiques  qui ouvrent à de nouvelles perspectives de la réalité. Notre envie est d’ouvrir un éventail des possibles dans notre propre réalité.

Créer la surprise, le surgissement poétique, l’enchantement du quotidien.

 

 » The only way to change the world around us, is to start with yourself  »

– Marina Abramovic

 

Pourquoi l’espace public ?

 

– C’est un espace qui s’ouvre à un public très divers faisant de cette installation un événement populaire, accessible : notre performance s’adresse à tout le monde.

– Nous aimons explorer des nouvelles formes de création. L’idée d’un espace scénique éphémère nous attire et fait partie de nos centres d’intérêt actuels.

– Nous aimons l’idée que les lieux puissent être temporairement modifiés, et, ce faisant, que les liens sociaux trouvent un nouvel équilibre, provisoire, passager, exceptionnel.

– Nous souhaiterions explorer la dimension politique de la sphère publique c’est à dire envisager cet espace comme un lieu de dialogue, de rencontre, de débat. Et par là même interroger ensemble le monde, notre société, tout en nous interrogeant nous-mêmes.

– Questionner la circulation des corps, le flux existant, nos parcours habituels et nos écarts

– Et cela sans imposer notre performance aux passants tout en désirant solliciter, s’ils le souhaitent, leur participation.

Et soudain, j’ai décidé de prendre le temps…

Face à une société qui va toujours trop vite, qui mise sur la rapidité et l’efficacité, nous avons décidé de prendre le temps, et d’inviter l’autre à le prendre avec nous.

 

La forme proposée est très simple : trois transats rouges au milieu d’un espace. Deux transats sont occupés par nous, performeurs de la Compagnie. Le troisième transat invite le passant à s’assoir à l’aide d’une phrase écrite avec du scotch orange au sol :

 

Et soudain j’ai décidé de prendre le temps.

 

Comment cette performance résonnera-t-elle aujourd’hui, après deux mois de confinement, alors que notre rapport au temps a complètement changé ? Cette notion  » prendre le temps  » s’est-elle modifiée depuis ? En quel sens ? Comment cela évoluera-t-il encore quand le dé-confinement sera entièrement fini ? Sous quelle forme ?

 

Que cherchons nous ?
S’autoriser à prendre le temps.
Revenir à la simplicité dans notre propre vie.
Observer, écouter le monde qui nous entoure et pouvoir alors, mieux nous écouter nous mêmes et, en nous écoutant nous mêmes, écouter le monde.

 

Conception et mise en espace : Clara Cirera et Sabrine Sidki
Performers : Clara Cirera et Sabrine Sidki
Photographie et vidéos : Emilie Munck Montuclard

Et soudain, j’ai décidé de prendre le temps…

Face à une société qui va toujours trop vite, qui mise sur la rapidité et l’efficacité, nous avons décidé de prendre le temps, et d’inviter l’autre à le prendre avec nous.

 

La forme proposée est très simple : trois transats rouges au milieu d’un espace. Deux transats sont occupés par nous, performeurs de la Compagnie. Le troisième transat invite le passant à s’assoir à l’aide d’une phrase écrite avec du scotch orange au sol :

 

Et soudain j’ai décidé de prendre le temps.

 

Comment cette performance résonnera-t-elle aujourd’hui, après deux mois de confinement, alors que notre rapport au temps a complètement changé ? Cette notion  » prendre le temps  » s’est-elle modifiée depuis ? En quel sens ? Comment cela évoluera-t-il encore quand le dé-confinement sera entièrement fini ? Sous quelle forme ?

 

Que cherchons nous ?
S’autoriser à prendre le temps.
Revenir à la simplicité dans notre propre vie.
Observer, écouter le monde qui nous entoure et pouvoir alors, mieux nous écouter nous mêmes et, en nous écoutant nous mêmes, écouter le monde.

 

Conception et mise en espace : Clara Cirera et Sabrine Sidki
Performers : Clara Cirera et Sabrine Sidki
Photographie et vidéos : Emilie Munck Montuclard

KISS à La Défense le 21 janvier 2020

KISS lors de l'été culturel à Boulogne-Billancourt - juillet 2021

Et si on se parlait ?

Comment créer des endroits de rencontre dans cette société où la peur et la méfiance sont au rendez-vous ? Comment tisser des liens entre les personnes ?

Nous avons imaginé une table, qui traverserait une ville entière; où un quartier; ou une place; où un pont.

 

Conception : Clara Cirera
Mise en espace: Clara Cirera assistée de Jeanne Brochard
Performers : Clara Cirera et Jeanne Brochard
Photographie et vidéos : Emilie Munck Montuclard

Et si on se parlait ?

Comment créer des endroits de rencontre dans cette société où la peur et la méfiance sont au rendez-vous ? Comment tisser des liens entre les personnes ?

Nous avons imaginé une table, qui traverserait une ville entière; où un quartier; ou une place; où un pont.

 

Conception : Clara Cirera
Mise en espace: Clara Cirera assistée de Jeanne Brochard
Performers : Clara Cirera et Jeanne Brochard
Photographie et vidéos : Emilie Munck Montuclard

KISS à St Ouen et sur la Passerelle Léopold Sédar Senghor
le 17 octobre 2020